Les enquêtes menées par la police cantonales et le ministère public ont permis de résoudre plusieurs des 19 affaires de fausses alertes à la bombe survenues dernièrement dans le canton de Vaud.
Dans quatre de ces alertes, les auteurs ont pu être identifiés et sanctionnés. Il s'agit de deux femmes de 19 et 24 ans et de trois hommes de 20 et 21 ans. Ils ont été exclus de leur établissement respectif et risquent jusqu'à 4 ans et demi de prison.
«Trois d’entre eux ont été libérés cette semaine après presque un mois de détention, rapportent les autorités, le quatrième et le cinquième restent incarcérés. Un sixième auteur, un homme de 23 ans est également détenu pour un cas qu’il conteste et pour lequel des éléments techniques le mettent en cause.»
Les établissements touchés sont l’EPCL, l’EPSIC, le COFOP et le Gymnase de Beaulieu à Lausanne, le CEPM, l’Ecole de la transition et le Gymnase à Morges, le Gymnase de Renens et le collège de la Planta à Chavannes-près-Renens. (ade/comm)